Le producteur se dit victime de chantage d'argent de la part de son neveu, à l'origine d'une plainte début janvier.
«Je ne suis pas un prédateur !» Dans un entretien paru samedi dans Nice Matin, Gérard Louvin a réagi aux accusations de «viol» à son encontre, trois semaines après l'annonce d'une enquête pour «viols sur mineurs» et «complicité de viols sur mineurs» contre le lui et son mari. Le producteur de télévision s'est dit victime d'une «cabale» et de chantage d'argent de la part de son neveu, qui a porté plainte contre lui.
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«Rien ne m'est directement reproché. La seule plainte qui me vise directement émane de mon neveu, qui m'a réclamé 700.000 euros pour ne pas avoir vu ce qui n'a pas existé», accuse-t-il.
Début janvier, Olivier A., 48 ans, avait porté plainte pour «complicité de viol par ascendant sur mineur de 15 ans» contre son oncle, l'accusant d'avoir «favorisé» des viols incestueux commis sur lui par son mari, Daniel Moyne. Depuis, quatre nouvelles plaintes ont été déposées à Paris pour des «viols» et «agressions sexuelles» visant le couple selon l'avocat des plaignants, Me Pierre Debuisson.
L'un de ces plaignants, Grégory C., 46 ans, accuse cette fois-ci Gérard Louvin lui-même de «viols». Les faits dénoncés, qui se seraient produits dans les années 1980 et 1990, «semblent prescrits», a toutefois reconnu l'avocat.
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«Tout ça est une cabale. Ma sœur est derrière tout ça, elle m'a écrit des horreurs», affirme dans l'entretien le producteur, estimant que depuis qu'il avait adopté un garçon, pour elle et pour son neveu, «il y avait tout à coup un autre héritier».
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